Licenciements forcés par le coronavirus: garder le contact accroît les possibilités de retour
Plus d’un travailleur licencié sur quatre (27%) serait prêt à retourner travailler chez son ancien employeur. Pour ceux qui entretenaient de bons rapports avec leur ancien employeur, la proportion atteint même 55%. Ce qui montre à quel point il est important de mettre en place un bon « offboarding », surtout maintenant que de nombreuses entreprises auront probablement du mal à éviter des licenciements liés au coronavirus dans les mois à venir.